Retrouvez ci-après le bilan de l’année 2020, reflet d’une activité intense pour l’Ordre des kinésithérapeutes et ses élus.
Au sommaire :
- Le profil de la profession
- Rétrospective de l’année 2020
- La vie ordinale
- La crise sanitaire Covid
- Le budget de l’Ordre
Éditorial de Mme Pascale Mathieu, présidente du CNOMK :
L’année 2020 a été douloureusement marquée par la pandémie de Covid-19 provoquant une crise sanitaire mondiale sans précédent et forçant tous les acteurs de santé à se mobiliser. Les kinésithérapeutes, qu’ils soient libéraux ou salariés, qu’ils travaillent à l’hôpital, en EHPAD et/ou en cabinet ont été au cœur de la crise.
Afin de les assister, tant sur les plans de la sécurité et de la santé physique comme psychologique que sur les aspects financiers et pratiques, le conseil national de l’ordre des masseurs-kinésithérapeutes, l’ensemble des élus départementaux, régionaux et nationaux ainsi que les collaborateurs des instances ordinales se sont montrés particulièrement actifs. Informations, accompagnement, aides et soutien ont été mis en place au plus proche de la réalité sanitaire, des recommandations nationales et des données de la science.
En un an, la mobilisation ne s’est pas tarie et la pandémie a continué en 2021 d’affecter des milliers de personnes sur notre territoire. Nous voyons également les suites que vivent certains patients avec les nombreux cas de Covid long qui sont peu à peu documentés.
A l’heure où je rédige cet éditorial, la situation sanitaire se dégrade à nouveau, en raison de l’émergence d’un variant particulièrement contagieux.
Nous avons compris que nous allons probablement vivre encore longtemps avec le virus. Nous mesurons ses conséquences sur notre vie, que ce soit l’aspect professionnel mais aussi sur nos activités culturelles ou de loisirs, nos déplacements, notre vie sociale, nos contacts avec nos proches, et nous voyons les retentissements sur la situation économique de notre pays. Mais l’espoir est là, grâce à la vaccination, qui est une chance que nous pouvons mesurer lorsque nous voyons la situation des pays qui n’y ont pas suffisamment accès, pays dont le système de santé n’est pas toujours armé pour faire face à l’afflux de malades.
Dans ces circonstances qui peuvent nous affecter à bien des égards, soyez assurés que le conseil national reste et restera plus que jamais investi pour vous accompagner.