Pascale MATHIEU est membre du comité de suivi de l’universitarisation des formations paramédicales
Dans les suites de la mission confiée par Madame Agnès BUZYN, ministre des Solidarités et de la Santé, et Madame Frédérique VIDAL, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, à Monsieur Stéphane Le Bouler, des groupes de travail sont en place pour définir les modalités de cette universitarisation.
Les objectifs généraux fixés par les ministres pour les travaux conduits dans le cadre de ces groupes, au cours des deux mois à venir sont les suivants :
- Simplifier les modalités d’admission dans les formations ;
- Ouvrir la possibilité de recruter des enseignants-chercheurs en maïeutique, soins infirmiers, et réadaptation ;
- Etablir un cadre national simplifiant les relations institutionnelles et financières entre régions, instituts de formation et universités ;
- Mettre en œuvre des formations aux nouveaux métiers en débutant par les pratiques avancées infirmières dès la rentrée 2018 ;
- Lancer une réflexion sur les référentiels incluant des temps de formation communs à plusieurs filières comme cela va se faire dans le cadre du service sanitaire.
Le conseil national est pleinement engagé dans ce dispositif, et Pascale MATHIEU, sa présidente, est membre du comité de suivi de l’universitarisation des formations paramédicales et de maïeutique.
Le conseil national s’est par ailleurs impliqué dans plusieurs groupes de travail :
- La qualification des enseignants chercheurs issus des filières paramédicales et de maïeutique : le représentant du conseil national est Monsieur Nicolas PINSAULT ;
- L’élaboration d’un cadre destiné à faciliter les projets territoriaux d’intégration universitaire (premiers travaux : traçabilité des financements et carte d’étudiant pour tous) : le représentant du conseil national est Monsieur Jacques VAILLANT
- Les formations de la réadaptation.
Engagé dès la première heure dans ce dossier d’importance majeure pour l’évolution de la profession, le conseil national de l’ordre réaffirme son attachement à la création d’une discipline des sciences de la rééducation et à l’intégration de la formation au sein de l’université.